Henry DeGrace

Invité

Atteindre son idéal, c’est le dépasser du même coup. Il faut deviner le peintre pour comprendre l'image.

1 ° Identity Card

Prénom(s) et Nom:

Henry DeGrace

Age et date de naissance:

Nous sommes en 1947. 28 ans 03/06/19

Nationalité:

Française

Origines:

Française

Emploi/Études:

Jeune Archéologue

Groupe:

2 [ X ]

3 [ ]

4 [ ]

5 [ ]

6 [ ]

7 [ ]

2 ° Biography

Histoire:

Plus ton cercle diminue, plus ton but se rapproche. À toi de voir, dans quel cercle tu comptes évoluer. Mais sache, que dans le plus petit se trouve le plus grand des enjeux.

Je n’eu pas une enfance des plus aisée. À vrai dire, je ne connais n’y père et mère et encore aujourd’hui, j’ai quelques mal a en discuter. En bref, le sujet reste des plus sensible. Se chapitre de ma vie, est une page tournée qui ne demande aucun retour en arrière. Les épreuves que la vie nous donnes, permettent de surpasser nos limites mais, a ne jamais oublier se par quoi nous avons du passé. Je grandis dans un orphelinat où je fus bercé par les mille et un contes des plus grands aventuriers. Dès mon arriver dans l’orphelinat, on me fit un portrait des plus flatteur. On me raconta l’histoire de mes parents à la manière d’un aventurier en quête de vérité.

« L’idée de partir le répugnait, mais ne trouva pas d’autre solution. L’homme prit ces maigres effets pour les rangés dans un sac de toile, qu’il mit sur son épaule. Au moment d’ouvrir la porte, sa main trembla. Jérémie se tourna une dernière fois vers la pièce où il avait retrouvé morte sa femme. Le corps inerte de Lysianne devenue aussi blanc que la neige de la vieille, le fit frissonner. L’illusion du sang de celle-ci refit surface. Pendant un court instant, il ferma les yeux. Mais, les re-ouvrirent aussitôt. La scène, tout lui revenait à l’esprit. Jérémie se fit violence. Sachant qu’il ne pouvait retourner dans le passé, fit demi-tour puis sortit finalement de la demeure.

La blancheur hivernale, le froid, le cloua sur place. Peut importe se que sa tête disait son cœur réclamait la vengeance et l’oublie. D’un pas hésitant, il posa le premier dans la neige molle, puis l’autre. L’insistant à s’éloigner toujours plus. L’obligeant à pouvoir oublier. Après une bonne heure de marche, le cri de sa femme refit surface. D’un geste brusque, tira son poignard, Jérémie se retourna et regarda autour de lui. Un vent violent lui fit reprendre ses esprits en le ramenant à la réalité. Il ne pouvait tout simplement entendre Lysianne car elle n’était plus. La nuit commençait, il devrait trouver refuge pour la nuit, s’il ne voulait pas mourir geler.

Une tempête se leva. Un rideau opaque de neige se dressa devant ces yeux, devenant aveugle. Il crut marcher droit, mais marchait en arc. La froideur, l’enveloppa. Il commençait à avoir froid. Sentant son souffle se couper, il tendit les bras et toucha un bois lisse sous la neige. Doucement, il glissa sa main vers la droite. Sa main touchait maintenant le verre. Continuant, il fit ainsi le tour de la maison. Dès qu’il toucha la porte, Jérémie frappa. Une voix chaude, mais réservée lui indiqua d’entrer. L’homme tourna la poigner et entra. Assit dans un fauteuil, un vieillard fumait sa pipe près d’un bon feu. Jérémie demanda l’hospitalité pour la nuit. Le vieux accepta lui fessant remarquer que de toute façon, il ne pourrait aller bien loin dans cette tempête. Le vieil homme se leva de son fauteuil et se dirigea dans une autre pièce. Jérémie déposa son sac de toile et rejoignit l’autre homme. Celui-ci lui préparait un lit de fortune.

- Je vous suis reconnaissant, fit Jérémie

L’homme lui répondit par un sourire et poursuivit sa tâche. Le vieillard lui servit un potage chaud ainsi qu’une galette blanche. Jérémie mangea avec appétit pour finalement s’endormir … Encore une fois ses images lui revient. Le sang, les vêtements déchirés de son épouse et tâcher par se liquide rougeâtre. Jérémie se réveilla en sursaut, assit sur le lit, seulement vêtu d’un pantalon, couvert de sueur, la respiration haletante … Tranquillement, il reprit son souffle et se laissa lourdement retomber sur le dos. Les yeux levés au plafond, il n’osait plus dormir. Au matin, il mit une tunique chaude et se dirigea vers la cheminée. L’invité rajouta deux bûches dans l’âtre et mit de l’eau à chauffer. Le vieillard se levait et sortait de sa chambre au même moment en lui demandant s’il avait bien dormit. Jérémie lui mentit en lui disant que oui et lui afficha un sourire. Après le premier repas, Jérémie partit de nouveau sur les sentiers enneigés.

Les questions, des images, touts se bousculaient dans sa tête. Si bien, qu’il porta ces mains a celle-ci. Mais les retira presque aussitôt. Jérémie arrêta sa marche et posa un regard surprit sur ces moufles. Une tâche rougeâtre était sur celles-ci. D’un geste brusque, il enleva l’une d’elle et tâta son crâne. En arrière de celle-ci, il découvrit une plaie. Comment pouvait-il s’être fait telle blessure? Puis se souvient de son cauchemar, celui qui le hantait. Sentant sa main geler par des picotements, il remit sa moufle et continua sa route.

Il avait marché jusqu’à l’aube s’en trouver la moindre demeure ou abri pour la nuit. Le gèle avait couvert sa chevelure noire. Épuisé, affamé, il se dit que sa route finirait ici. Puis, se révisa. Monter sur une colline qui surplombait un petit village, Jérémie fut surprit de voir tant d’agitation à cette heure. Avec prudence, il descendit et regarda la population bouger au rythme des battements de son cœur. Mai, il n’était pas le seul à regarder, à découvrir. Une jeune femme, vêtu chaudement aux couleurs du village marcha vers lui, mais l’esprit ailleurs, Jérémie ne la vit pas.

- Mon pauvre vous semblez mort! Venez avec moi!

Lui dit-elle en le tirant par le bras sans lui laisser le temps d’émettre sa réponse. Elle le poussa dans l’entrée de la petite demeure. Une chaleur et une odeur lui étaient familières. La jeune femme avait disparue, lorsque Jérémie vient pour poser le regard sur elle. »

Voilà l’histoire que l’on me fit de mes parents. Belle utopie des temps modernes. Mon histoire n’est pas la leur et je ne connaîtrai peut-être pas une fin aussi doucereuse. Ma vie, est une aventure où le dangers se cache dans le moindre recoin du monde et de ses terres. À moi d’écrire mes propres lignes et de marque le sable et les mers de mon histoire légendaire. Plus jamais je ne vivrai en pensant a hier. Voilà ma nouvelle devise : Pense a se jourd'hui car demain, tu le nommera hier. Se n’est un secret pour personne, je rêvais déjà enfant d’avoir ma marque dans l’histoire. Avoir mon prénom écrit en lettres d’or où des pages entières raconteraient mes aventures et utopies. Se rêve, je le caresse encore. Étant encore un enfant, derrière chaque meuble se trouvait une histoire de conquête et de légende. Du dernier césar, des rois le plus jeunes. Qui dirigea une légion a lui seul qui mena ensuite à l’épopée du roi Arthur et de son Excalibure. Dans cet orphelinat, dans chaque ombre, l’impossible devenait possible. Qui l’eu cru? Moi à première vue. Jeune orphelin français ignorant tout de la réalité du cercle qui lui est proche. Je grandit sans l’argent aisé de père n’y l’amour de mère. Pourtant, je ne m’en trouve pas plus démuni. Du moins, c’est se que je laisse croire. Je crus longtemps à cette phrase : Je vis, voilà le seul point auquel je dois me rattacher le reste, n’est que vent. Il fut un temps, il y a bien longtemps où je croyais a cette phrase aussi durement que le fer, aussi simple fut-elle. Pourtant, aujourd’hui, je me retrouve grand collectionneur. J’ai vieilli certes, mais je suis encore jeune et ai la vie devant moi. Pour moi, tout objets que je ramène me racontent une nouvelle histoire, une nouvelle légende. Que cela soit, reliques ou réplique, tout a de la valeur et de l’importance. Jeune diplômée d’Oxford, j’occupe le poste d’archéologue. Certes, j’ai encore beaucoup a apprendre de la matière, d’autre son beaucoup, … expérimenter que moi. Connaisse des langues sur le bout des doigts et moi, je l’ai effleure a peine. Je suis novice mais, j’apprendrai des meilleurs et des plus minutieux à qui rien n’échappent. La perfection n’est pas de se monde, je le sais mais, … j’espère en sentir une partie. Un rêve s’endort mais, l’espoir lui, jamais ne meurt.

3 ° And others

Caractère:

Si tu plonges longtemps ton regard dans l'abîme, l'abîme te regarde aussi. Henry est plutôt loin d’avoir un caractère frivole. A moins de démontrer de l’intérêt, vous n’avez pas d’intérêt. Dur, dur la vie! Il est plutôt un cœur tendre sous une carapace de pierre et de glace. Sa confiance est plutôt difficile à acquérir. Dans la vie, rien n’est facile. C’est un passionner, il est toujours a fond dans se qu’il entreprend et attention a celui qui se mettrait au travers de ses pattes. Plutôt loin d’être prompt, il pèsera les pour et les contres, les façons de réactions. Érudit, connaître est sa façon d’agir. Il déteste être dans l’ignorance, surtout s’il sait qu’on lui cache quelque chose qui le concerne. Henry est plutôt de nature impassible, passive. Il reste neutre devant l’adversité, mais prend garde à l’attaque. Il est comme le scorpion, il n’attaque que lorsqu’on le menace. A vrai dire, il déteste être provoqué. Il ne cherche jamais la bagarre pourtant, il a le don de provoquer, de toucher un point sensible qui fait exploser l’impulsion. D’après lui, c’est sur le coup de la colère que l’on connait les véritables limites de l’être humain. L'homme est une corde tendue entre l'animal et le Surhomme, une corde au-dessus d'un abîme.

Particularités:

Jeune homme très ambitieux, il est prêt à tout pour parvenir à ses fins. Non ce n'est pas un malade ou un homme qui prout plus haut qu'il ne le devrait, il fait confiance à son instinct, et pour le moment celui-ci ne l'a jamais trompé. Henry peut-être adorable comme sadique, il suffit qu'il vous fasse confiance et à partir de là, vous pouvez tout lui demander. Il est très intelligent et à une très bonne mémoire. Henry ne maitrise pas encore les langues à la perfection, mais cela ne serait tarder.

4 ° Behind the screen

Pseudo/Prénom:

Votre avatar:

Prédéfini, scénario ou inventé:

Présence sur le forum:

Un petit mot pour finir:

HAAA KYLE/ABRAHAM Henry DeGrace 67616

Je suis contente de te voir sur le forum tu sais I love you

Bienvenue, et good luck Henry DeGrace 929353

Invité

28 décembre

Invité

Citation :: Il n'y a pas de souci, je te connais et je sais ce que tu vaux

Ah et je vaux quoi? (quelques dollars xD). Je rigole!

Je vais cocher mon histoire sur papier.
Promis, je la poste dès qu'elle est terminer.
Je déteste que les gens attendent après moi «- Boulet

Un très bon niveau Henry DeGrace 67616

Mais t'inquiètes pas Laughing

Invité

Et voilà chose promise chose due!
Ma présentation est terminer.
J'espère que tout sera en règle. =)

C'est parfait I love you

Je te valide Henry DeGrace 982405

» Henry DeGrace