The Warlord

I) Enfance Impériale.

Er Shi Kuang est né au Palais Impérial en -50 avant J-C. Il était le second fils de l’Empereur Xuan Di. Seul deux ans d’intervalles séparait Er Shi Kuang de son frère aîné, le futur Empereur Yuan Di. La différence principale que l’on nota lors de la venue au monde du prince résidait dans sa constitution nettement supérieure à celle de son chétif frère. Plus grand et plus lourd que son frère à la naissance, de plus, contrairement à son frère il ne pleura pas lors de sa venue au monde. Son calme surprit les guérisseurs de l’Empereur. Le lendemain de sa naissance, on consulta les augures et les mystiques. Les prédictions furent assez mystérieuses, d’après eux, Er Shi Kuang deviendrait un personnage de haute envergure qui réaliserait ce que nul autre homme avant lui n’aurait accompli. Rien ne précisa cependant si ces grandes réussites allaient être bénéfiques ou non pour l’Empire et sa grandeur.
La tradition en Chine voulait que l’aîné devint l’héritier de l’Empereur et que le second soit en charge de l’armée impériale.

On débuta donc son entraînement le jour de ses cinq ans. Contrairement à ce que tout le monde pouvait penser, ce ne fut nullement l’armée qui s’occupa de sa formation, mais les espions et les assassins de l’Empereur. En effet les conseiller de l’Empereur ayant remarqué le grand calme et la précocité intellectuelle du jeune Kuang souhaitaient en faire un homme plus rompu dans l’art de l’intrigue et de la tromperie afin d’en faire un meilleur soldat. Ce que l’on craignait surtout, c’était que le frère aîné du futur chef des armée qui montrait des signes de faible constitution et de naïveté soit un complet incapable de gérer les affaires militaires de l’Empire.

Les camps d’entraînement des Assassins du Lotus, sorte de KGB de l’époque en Chine se trouvaient près de la frontière Mongole de l’Empire. Zone très compliquée puisque les barbares de ces contrés figuraient parmi les plus redoutables de la terre. L’immense forteresse posée sur la montagne, le jeune Kuang se demandait, du haut de ses cinq ans ce qu’il venait faire ici? Pourquoi fallait-il qu’il fut arraché à son père? À son Frère? La réponse lui vint assez rapidement. Le chef des Assassins du Lotus lui confia son destin: diriger les troupes de l’Empereur. Cet homme devint son mentor, il se nommait Sun Li, redoutable combattant et l’un des héros de l’Empire il maîtrisait les arts martiaux chinois à la perfection en particulier dans le style du Serpent et à l’épée.

La plus part des membre des Assassins pratiquaient depuis leur plus tendre enfance tous sans exception avaient perdu leurs parents. Le jeune futur Général en chef de l’armée ne fut pas entraîné avec eux. Sun Il désirait prendre en charge en personne Er Shi Kuang pour lui enseigner tous les secrets des assassins du Lotus.

II) Entraînement.

Le Kung-fu, ce n’est pas, à l’origine la prononciation exacte de l’art martial. Le véritable nom est le “gong-fu”. Tous les Chinois de l’époque savaient cela. Ils savaient également que derrière de simples styles de combats nommé pour déterminer des variantes d’une seule et même chose - l’art de se défendre- se cachaient en fait des techniques sombres utilisant les arts spirituel. Ce n’était pas de la magie à proprement dit mais une maîtrise poussée à un tel paroxysme que les meilleurs maîtres de ces disciplines arrivaient à développer des capacités surhumaines.

Le maître de Kuang par exemple, en utilisant les préceptes du Tao et par sa maîtrise du style du Serpent demandant une connaissance parfaite de l’anatomie pouvait maîtriser les flux du Chi dans son corps. Cela pouvait décupler sa force physique, sa vitesse voire ses sens. Très tôt, la méditation fut de rigueur pour lui apprendre à maîtriser ce flux de Chi interne, le réguler, le modeler et l’utiliser. Toutes les journées se ressemblaient, la première partie de son entraînement quotidien consistait à faire des étirements pendant trois à quatre heures afin de s’assouplir. Toutes les parties du corps y passaient, y compris les doigts afin de pouvoir résister aux torsions puis, il fallait méditer deux heures pour ressentir son énergie intérieure.

Cet échauffement physique et mental se suivait par du Taïchi afin de combiner corps et esprit en parfaite harmonie. Sun Li enseignait ensuite la Calligraphie et faisait étudier les textes de Lao Tseu, Confoncius et d’autres penseurs Taoistes pour la plus part. C’était l’après midi, après une courte sieste que le Kung-Fu commençait. Le Style du Serpent, le préféré de Kuang, consistait à laisser l’adversaire attaquer pour riposter ensuite dans un des points vitaux exposé. Un style venimeux comme l’animal qu’il représentait et qui ne laissa que rarement celui qui l’affrontait en vie. Un seul coup au bon endroit pouvait tuer sur place, paralyser ou encore rendre aveugle et sourd temporairement. Au départ, le jeune Er Shi Kuang n’apprit que bêtement les Tao correspondant à ce style afin d’apprendre à maîtriser son corps. Son maître ne lui enseignait que très peu les applications relatives à ces mouvements auquel Kuang tentait en vain - il faut le dire- de comprendre le sens. Tous les assassins du Lotus passaient par cet état d’ignorance. Telle était la philosophie de ces derniers. Il fallait d’abord apprendre la base par coeur et ne pas s’en dévier sauf si on le demandait empressement. Apprendre à bien faire avant de faire “tout court”. De plus, les Tao constituait une excellente préparation physique puisqu’il soumettait le corps à des exigences techniques et respiratoires de haut niveau lorsqu’on voulait bien faire. Combien de fois Kuang dut-il faire des pompes ou des heures de marche en forêt parce que son maître ne se satisfaisait pas de ses prestations. La même méthode était pratiquée à l’enseignement de l’épée. On ne se battait jamais les deux premières années parce qu’il fallait apprendre les bonnes positions et les bons déplacements.

Une fois cet apprentissage de base solidement encré dans le corps, l’esprit et le coeur de l’élève, on l’autorisait à accéder à certains ouvrages de la Bibliothèque de la Forteresse parmi lequel des livres dont la somme de connaissance pouvait être considéré accessible par les plus grands maîtres uniquement.

III) La mort du Serpent.

Er Shi Kuang, à l’âge de douze ans montra pour la pratique des arts martiaux des dons que personne n’avait vu jusqu’à présent. Certes il demeurait loin d’égaler un assassin du Lotus accompli mais fit en sept ans d’entraînement ce que certains faisaient en dix voire quinze ans de pratique. Son intelligence et sa vivacité d’esprit firent comprendre à son maître, Sun Li que les mystiques disaient vrais: ce garçon allait accomplir des choses immenses et bouleverserait un jour le destin de la Chine. Ce qui choqua le plus ses confrères assassins demeura sans doute sa perfidie naturelle, sa cruauté qui n’avait d’égale que ses dons. On le comparait souvent au Serpent, le prédateur par excellence et l’animal de son style de prédilection. Son entraînement devenait chaque jours plus dur, plus usant physiquement et exigeant psychologiquement. En effet, pour monter dans la hiérarchie des assassins du Lotus, il fallait franchir certaine épreuve. Pour devenir aspirant, un examen d’entrée regroupant un parcour physique très dur ainsi que des jeux de réflexions plutôt élémentaires demandant un minimum d’intelligence était requis. Cette épreuve avait lieu en général à l’âge de dix ans. Pour devenir disciple les aspirants participaient à un tournoi avec des épreuves relatives au métier d’assassin et les deux finalistes devaient se battre jusqu’à la mort pour montrer leur abnégation et leur puissance mentale. Kuang avait passée cette épreuve à l’âge de quatorze ans. De sang froid, il tua un des élèves qui avait pourtant trois ans de plus que lui et qui fut considéré comme l’un des meilleurs combattants parmi ces condisciples.
L’étude des arts martiaux devenait à partir de ce stade plus complexe et Sun Li, bien plus exigeant envers son élève particulier que ne pouvaient l’être les autres instructeurs donna comme premier entraînement et principe la survie. Il laissa Kuang en plein milieu du désert de Chine. Affirmant qu’il reviendrait ici dans un an voir si ce dernier pouvait survivre. Ce désert regorgeait de bandits en tout genre. Et il du donc mettre à profit ses entraînement passé pour survivre contre ces voleurs de grand chemin. Un an à boire très peu et a mourir de faim eurent des effets redoutables sur sa psychologie déjà assez dérangée. Obscédé par le pouvoir depuis qu’il avait dix ans, sa volonté de monter dans la Hiérarchie n’en fut que plus forte. Il repensait à son frère héritier qui ne devait pas subir cet entraînement indigne d’un prince et qui pendant qu’il étudiait avec acharnement les arts martiaux devait lui étudier tranquillement la gestion d’un royaume. Sa haine vis à vis du sort qui l’avait fait venir en second et qui annihilait toute chance de se hisser au sommet ne fit que se renforcer.
Il parvint évidemment à survivre à cette enfer. Et retourna avec son maître jusqu’à la forteresse ou son entraînement quotidien reprit.
L’épreuve qui conférait le titre d’assassin officiel et qui témoignait que l’élève, devenu maître dans un art martial bien spécifique et ayant témoigné du niveau de connaissance demandé consistait à un combat contre trois adversaires. Souvent des prisonniers de guerre ou des soldats qui souhaitaient gagner de l’argent. Un combat à mort ou seul l’un des deux camp gagnerait. La victoire fut facile pour le futur général et il tua en deux en trois mouvement les pauvres bougres qui lui faisait face.

Devenu officiellement un Assassin du Lotus à l’âge de dix-neuf ans, Kuang vit dans cet organe l’un des meilleurs atouts pour conquérir le pouvoir. En effet, depuis son entraînement dans le désert, son maître Sun Li lui enseigna l’art de la politique et des intrigues indispensable à tout espion ou assassin. Il sut donc que l’Empereur recevait un mandat Céleste de la part des Dieux, mais que, si des inondation et des sécheresses apparaissaient, cela signifiait que ces même Dieux lui reprenait le pouvoir et que n’importe qui pouvait le convoiter. Il fit donc le choix de différer son d”part pour l’armée et resta sous les ordres de Sun Li en tant qu’assassin du Lotus afin de parfaire sa connaissance des secrets de cet homme vieux sur le départ. Auprès de lui, il put découvrir les sombres secrets des arts spirituels et de la maîtrise de son énergie. En contrôlant ses flux de Chi à la perfection il pouvait à présent déplacer des objets par la pensée. Sun Li, dont l’âme était aussi noire que les Ténèbres, avait même découvert comment pomper l’énergie vitale et altérer dans une certaine mesure la matière. Cependant, un tel pouvoir avait un prix élevé car il se nourrissait du corps de celui qui le pratiquait. Er Shi Kuang le savait bien, et n’utilisa jamais ces techniques, en effet son Chi était naturellement très violent et agressif, et cela décuplait non seulement les effets bénéfique mais aussi les retour de flamme de cette puissance.

Sun Li mourut quelques années après que Er Shi Kuang est totalement terminé son entraînement. Il prit alors la direction des Assassins du Lotus.

IV) L’armée.

Désireux de concentrer l’ensemble du pouvoir militaire entre ses mains, le nouveau chef des assassins du Lotus cumula les deux fonction de chef des armées et de maître des espions de l’Empereur. Il fit semblant de le servir loyalement. La trahison n’était pas encore venue en effet même si Kuang faisait office de meilleur combattant de la Chine, redoutable et redouté pour ses techniques mortelles, son pouvoir n’était pas encore suffisant pour espérer détrôner son Empereur de frère. Kuang, formé à Sun Tzu toute sa jeunesse savait bien que la politique et la guerre se ressemblaient. La Guerre, ce moyen de faire de la politique et la politique, ce moyen de se faire pacifiquement la guerre. La violence qui découlait de ses deux métiers enseignait à tout ceux qui le faisait une seule chose: Lorsque l’on veut trahir, il ne vaut mieux pas se rater, et pour ne pas se rater il faut savoir attendre.

Er Shi Kuang utilisa tous ses réseaux et ceux des Assassins du Lotus pour parasiter l’administration Impériale paralyser l’Empire. Une fois que cela fut fait, il lui fallait gagner les faveurs de l’armée. Ce monstre froid passait pour un temple du loyalisme contrairement aux Assassins qui à travers les siècles oeuvrèrent pour faire détrôner certains Empereur. Il demanda donc à l’Empereur l’autorisation de partir en campagne contre les Mongols. Il mit les légions en marche et mena les troupes Chinoises sur le champ de bataille. Là, les soldats se découvrirent un véritable chef, qui déjeunait la même nourriture qu’eux, qui ne montait pas à cheval mais marchait devant eux les précédant en donnant pour motif qu’il voulait sentir la terre ou le sang de ses hommes allait couler. Il demandait énormément à ses hommes, mais il les respectait, ses talents d’orateurs les galvanisaient et rendait toute sa dimension artistique à la bataille. Il faisait monter leur envie de vaincre si haut qu’ils se disaient prêt à mourir pour sauver Er Shi Kuang, Général en Chef de l’armée Impériale. C’est suite à une victoire difficile contre les Mongol qu’on lui donna son titre de Seigneur de la Guerre. Sa titulature complète gravée sur son armure se lisait ainsi: Er Shi Kuang, Général en Chef, Seigneur de la Guerre et Glorieux Stratège. Le peuple qui n’était pas habitué aux pompeuses liste de titre réduisait couramment en “Kuang Glorieux Stratège”.

Dix ans d’expérience au frontière lui avait acquis une bonne partie de l’armée en plus des Assassins du Lotus. Mais ce qui le décida, ce ne fut pas cela, ce qui motiva réellement la mise en place de la machine fut la sécheresse qui frappa pendant un ans le pays. Comme si les Dieux lui souriait et lui donna le top départ pour la prise de contrôle de la Chine.

V) Le Coup d’Etat raté.

Le Frère de Kuang n’avait plus confiance en son frère depuis longtemps. Il était issu des Assassins du Lotus et de fait on lui avait appris à trahir si c’était nécessaire. En plus, Er Shi Kuang affichait avec ostentation ses exploits et la fidélité de son armée. En plus de cela, personne ne pouvait déterminer quel lavage de cerveau les Assassins faisait subir à leurs élèves. De plus, personne n’avait jamais combiné au sein de l’Empire la fonction de chef des armées et de chef des Assassins du Lotus. Les précédant Empereurs veillèrent à ce que personne ne put concentrer entre ses mains tous le pouvoir militaire de l’Empire, d’ailleurs cette confrérie de traîtres n’avait été crée que pour combattre l’armée au cas ou celle-ci se révolterait contre l’Empereur afin de créer un contre pouvoir. Avec Er Shi Kuang, ce subtil équilibre politique se rompait au désavantage de la stabilité de l’Empire. L’Empereur décida donc de mettre son frère aux arrêts dès que celui-ci reviendrait de Mongolie. Il en fit part à son Ministre principal. Manque de chance, ce dernier, à la solde des Assassins du Lotus informa Er Shi Kuang de ce qui se tramait derrière son dos. Le frère cadet de l’Empereur décida donc de repartir à la Forteresse du Lotus afin d’y établir ses forces armées.

Grâce aux espions il leva une immense armée Et parti à la Conquête du pays. Sa victoire ne fit pas l’ombre d’un doute, hormis la garde Impériale, les soldats lui étaient fidèle. Il tenait le pouvoir de la Chine dans le creux de ses mains. Mais une personne vint se heurter à son optimisme. Sa mystique: Roxane. Elle n’avait jamais été favorable à la mise en place de ce plan pour vaincre l’Empereur, du moins elle savait que l’intéprétation des signes de Er Shi était imparfaite. Rien de prouvait que le mandat du ciel était en train d’être retiré par les Dieux à l’Empereur excepté une sécheresse certes redoutables mais qui devait se voir confirmer pour agir. Malgré la relation particulière que le Seigneur de la Guerre avait avec cette voyante qu’il considérait comme la seule humaine qui vaille la peine d’être appréciée par sa personne, il refusa d’écouter et poursuivit son entreprise.

Ses victoires furent éclatantes à nouveau mais l’Empereur put réagir et il embaucha des dizaines de milliers de mercenaires venant des peuples vaincus autrefois par son frère. Une masse de soldats revanchard se pressa jusqu’à la Forteresse du Lotus ou Kuang avait pris ses quartiers d’Hiver en attendant le printemps pour finir cette guerre. Ce ne fut pas une surprise, son frère devait bien agir un jour ou l’autre. La Bataille qui s’engagea sur un versant de la montagne qui jouxtait la base du grand guerrier. Le sang, la mort fut durant les trois semaine de la bataille omniprésente sur le champ de bataille ou les deux camps rivalisaient d’inventivité et de fourberie pour l’emporter. Les sortie, les feintes les débordements par les flanc furent de rigueur, mais malgré la puissance des Assassins du Lotus et de leur forteresse, Er Shi Kuang perdit cette bataille finale. Sachant quel sort l’attendait pour une telle trahison, il se mit, durant les cinq jours qui suivirent sa défaite à organiser une défense imprenable grâce aux derniers Assassins du Lotus présent dans la forteresse. Lui, se retira et organisa l’ultime défense dans la Bibliothèque. Là, il se mit à chercher un moyen de remporter la bataille malgré la défaite militaire. Il savait que Roxane avait fui depuis sept jours.

Elle avait eu raison finalement. Il lui en voulu au départ d’avoir sauvé sa peau. Toute ses pages lui rappelaient son enfance. Les mystiques de l’Empereur lui réservaient une punition peu enviable. Une mort lente et douloureuse, voire pire. Il ne trouva rien pour remporter cette bataille définitivement perdue, mais il tomba sur le texte de la légende de Shangri La. L’immortalité. La défaite ne semblait pas totale. Si il parvenait à s’enfuir, il trouverait la source et reviendrait prendre le pouvoir, Immortel.

Sa tentative de fuite fut cependant ratée. Les soldats de l’Empereur parvinrent à le capturer. Ce ne fut pas chose facile puisque le Seigneur de la Guerre se battait comme le diable. Il était précis, rapide et puissants. Envoyant des petites doses de Chi dans chacun de ses coups pour provoquer des hémorragie interne. Sa connaissance parfaite de l’acuponcture apprise dans cette même forteresse tua une bonne dizaine d’homme, et rendit infirme une autre dizaine. Contraint d’user du savoir interdit que Sun Li lui avait enseigné pour s’enfuir, son corps se fatigua très rapidement. Et il fut finalement capturé au prix de la mort de cinquante vaillant soldats. Dévoilant de plus les sombres arts du combat qu’il maîtrisait ce qui aggrava son crime. L’Empereur décida que, pire que la mort, il serait maudit, il ne trouverait pas le repos et serait prisonnier de l’argile pour l’éternité. Er Shi Kuang, conscient de la torture qui l’attendait resta silencieux. Son frère aurait mieux fait de le tuer, car la torture psychologique et la damnation de son âme ne ferait que lui donner plus de détermination à trouver Shangri La et a reprendre ce qui lui appartenait: le monde.

Bienvenu cher Seigneur de Guerre belle histoire complexe

Dit tu aurait pas jouer à Jade Empire par hasard

Of coursen ce jeu m'a beaucoup inspiré pour l'Histoire!

Par contre ^^" je viens de voir que j'ai mal copié collé un des messages et qu'il y a un doublon xD

C'est possible d'en supprimer un, tant qu'à faire le dernier ^^"

HAN MY GOD
ta fiche est juste parfaite, franchement, j'ai adoré la lire.
Je ne pensais vraiment pas qu'on aurait un Seigneur de la Guerre aussi vite, avec une aussi bonne fiche je ne peux que te valider
Bienvenue sur TOH

Super le grand méchant est là

Merci beaucoup, je suis touché ^^"

Cependant, j'avoue ne pas avoir trouvé d'avatar sur les sites conseillés dans le Règlement. Aurais-tu d'autres références ou je pourrais trouver mon bonheur?

Il y en a deux de poster dans le post de ce prédéfini, bon ils ne sont pas terribles mais bon (a)

https://2img.net/r/ihimizer/img121/9900/122j.png
https://2img.net/r/ihimizer/img697/8582/123hg.png

Ah tellement géniale ce jeux, dommage qu'il aille pas eux de suite, ca me donne justement une idée pour un lien entre Shan et le seigneur de Guerre

Manque plus que Silk Fox et Dawn Star avec ma chère mirabelle et je serais heureux

Lanie: Merci ^^ Je m'en satisferait pour le moment.

Zheng: Comme quoi le bonheur est à la porté de tous xD

Alors la quelle de deux méthodes de Qin Shi Huang , premier empereur de Chine favorise-t-il pour rester immortelle?

Manger du mercure ou dépuceler des vierges à tous les jours?

Bah généralement c'est la solution la plus bête qui est retenue par les tyran mégalo à qui on peut faire gober n'importe quoi xD C'est donc la première. Ce qui est paradoxal, c'est que ce monstre sanguinaire en est sûrement mort ^^

Bienvenue
Waouh ça c'est de la fiche

Ton vava me donne envie de regarder La Légende du scorpion noir

Er Shi Kuang a écrit:

Bah généralement c'est la solution la plus bête qui est retenue par les tyran mégalo à qui on peut faire gober n'importe quoi xD C'est donc la première. Ce qui est paradoxal, c'est que ce monstre sanguinaire en est sûrement mort ^^

Ben on doit tous mourrir mais le plus intéressant c'est qu'on sait pas s'il c'est mit à vraiment dépuceler des vierges, mais il grignotait des tablettes de mercure ca c'est sûre

Mais bon il avait de bonne raison d'être suceptible sa femme l'avait tromper avec un eunuque

Citation :

sa femme l'avait tromper avec un eunuque

o_O alors là, il faudra m'expliquer comment elle a fait xD

Enfin bon, de là à raser une montagne en tuant plus d'un demi million d'ouvrier Chinois au travail, il fallait vraiment ce cet eunuque en plus d'être eunuque soit moche, petit et gros ^^"

Trop fun la conversation
Il bouffait des tablettes de mercure

En fait, pour être plus exact c'était des perles de mercure faites par un "mage" ( un charlatan en somme xD).

Bienvenue et superbe fiche nous faut un lien **

Er Shi Kuang a écrit:

En fait, pour être plus exact c'était des perles de mercure faites par un "mage" ( un charlatan en somme xD).

Ils sont un peu... bizarre ce genre de personnages --