| | | IGNACE MARKOW — Where's the silk road ? |  |
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Ignace Markow
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| | Sujet: IGNACE MARKOW — Where's the silk road ? Lun 11 Jan - 22:01 | |
|  da*svitania - Spoiler:
1 ° Identity CardPrénom(s) et Nom: Ignace Jacek MARKOW.
Age et date de naissance: 31 ans, né le 14 novembre 1916.
Nationalité: Britanno-Polonaise.
Origines: Polonaises et britanniques, principalement, avec peut-être quelques racines en Ukraine.
Emploi/Études: Docteur ès archéologie diplômé de l'université d'Oxford en 1944. Spécialisé dans l'archéologie médiévale indo-chinoise.
Groupe: 2 [X] -
3 ° And othersCaractère:
- Méticuleux; Ignace est ordonné et sérieux, chaque chose à sa place et en son temps. Tout est classé, ses papiers, ses pensées, il ne laisse rien au hasard hormis son goût pour l'aventure qui le mène souvent par le bout du nez.
- Tombeur; qui a dit que les grosses têtes ne sont que des avortons boutonneux ? Avec ses grands yeux myosotis et son petit sourire moqueur, Ignace à souvent eu du succès avec la gent féminine. Ses conquêtes, il ne les compte plus. Il a souvent eu un faible pour les femmes métisses ou à caractère "exotique"..
- Fumeur de cigares. Mauvaise habitude, mauvaise odeur, mais l'époque veut qu'un homme n'en soit un qu'en fumant le cigare. Et puis, il aime ça.
- Sarcastique; surtout avec les femmes. Et les personnes riches.
- Humaniste; car lui, qui est devenu riche assez tard dans sa vie, n'a jamais eu d'attitude élitiste, et se reconnait dans la pensée de Ghandi qui désire abolir les distinctions de classes. En tant qu'archéologue, il est proche des populations dont il étudie avec respect le patrimoine culturel.
- Intellectuel; car il a soif encore et toujours de connaissance. C'est ce qui le pousse à présent à courir après la cité mystérieuse de Shangri-La: il veut tout savoir, tout expérimenter.
- Casse-cou; ou aventurier: c'est du pareil au même pour lui. Il parcourt le monde avec son sac à dos pour fouiller, fouiner ou creuser à la bèche le flanc des montagnes. S'il avait connu Indiana Jones, il l'aurait adoré: en plus, avec tout ce qu'il rapporte comme perle d'histoire aux musées, il aurait bien l'droit à une plaque à son nom..
Particularités:
- De grands yeux bleu myosotis, particularité assez rare pour un slave. Néanmoins, ses origines britanniques ne doivent pas y être pour rien.
- Il porte de grosses lunettes à monture épaisse et aux verres arrondis. Quand il est en chantier il préfère ne les mettres que lorsqu'il doit faire un travail précis, car sinon la poussière les encrasses plus qu'autre chose.
- Ignace parle et écrit couramment le polonais, l'anglais, l'hindi et le dialecte indien marâthî en usage dans la région de Bombay (Mumbay). Il sait également lire pas mal de Kanjis chinois et en connais quelques mots à l'oral.
- Il est spécialiste de l'Inde médiévale, mais également dans l'absolu de la Chine et des quelques pays limitrophes.
- Le jeune homme reste profondément marqué par la perte de sa famille dans la deuxième guerre mondiale, et refuse généralement d'aborder ce sujet. Il s'est déjà montré violent avec les quelques rares personnes ayant adopté le point de vue allemand.
- Comme il sait parfaitement que le monde de l'archéologie regorge de brigands et de voleurs, il n'hésite pas à partir sur des chantiers avec un revolver Smith&Wesson. Il n'aurait aucuns scrupules à tuer un homme pour garder son butin sauf, et c'est ce qui rend sa personnalité si difficile à saisir.
- Ignace mesure 1m87 pour 68 kilos, il est donc très mince. Néanmoins, les fouilles et ses nombreuses marches a travers l'Inde lui ont sculpté une musculature discrète mais résistante.
4 ° Behind the screenPseudo/Prénom: Dasvitania x)
Votre avatar: Elijah Wood
Prédéfini, scénario ou inventé: Inventé, en espérant que cela convienne.
Présence sur le forum: 3/7, car le rpg est un loisir, et mes cours passent malgré tout avant le reste.
Un petit mot pour finir: Ce contexte est GE-NI-AL, je n'ai encore jamais vu un forum correspondant à ce point à mes passions, c'est hallucinant 
Félicitations aussi pour le design qui est magnifique. (Et désolé pour la très longue histoire... je me suis un peu laissé aller.. haem ^^)
Dernière édition par Ignace Markow le Sam 16 Jan - 13:19, édité 14 fois | |
| | | | Ignace Markow
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| | Sujet: Re: IGNACE MARKOW — Where's the silk road ? Lun 11 Jan - 22:33 | |
| 2 ° BiographyHistoire:
Né dans une période plutôt critique de l'histoire européenne, juste avant la Grande Guerre, et ayant terminé ses études pendant l'horreur de la seconde, Ignace n'a pourtant pas eu à souffrir des mêmes infamies que les autres... dans une certaine mesure. La famille Markow n'était ni riche ni connue, composée simplement d'ouvriers résidant dans le centre ville de Gdansk à l'extrême nord de la Pologne. Par chance, Mary Bailey Markow, la mère d'Ignace, était originaire de Londres et sa lointaine famille - qui n'avait d'ailleurs jamais réellement approuvé son mariage avec un catholique polonais - vivait bien en sécurité par delà la Manche. C'est ainsi qu'à l'aube de 1939, la famille Markow émigra dans le plus grand secret à travers l'Europe, pour retourner dans le giron protecteur des Bailey et ainsi éviter les dénonciations, la déportation... ou pire.
L'enfance et l'adolescence d'Ignace en Pologne ne lui laissèrent pas de souvenirs réellement marquants, hormis sa langue natale et quelques anecdotes. Le jeune homme se passionna très tôt pour les objets anciens et l'art, et l'époque de l'école secondaire lui permis de comprendre ce pour quoi il était fait: l'archéologie. Notre héros parlait déjà couramment l'anglais, grâce à sa mère, mais restait relativement en retrait des traditions religieuses paternelles: tout cela ne l'intéressait guerre, et sa méfiance naturelle lui fit comprendre le danger qu'il y avait à se proclamer de telle ou telle appartenance religieuse bien avant que cela ne soit révélé au grand jour. Aussi restait-il relativement discret, sur tout les aspects de sa vie. La guerre de 14 éclata puis se calma sans atteindre mère patrie. Ignace entra à l'université en 1936, après un cursus complet au lycée du quartier. Rien de plus banal, en soit.
Les aléas de la guerre le forcèrent à changer d'université, mais la première à l'accueillir fut la très cotée université nationale de Varsovie, que le jeune homme désirait intégrer depuis déjà quelques années. Son caractère méticuleux lui avait permis de programmer entièrement la suite de ses études, et sa passion qui le poussait toujours plus loin lui murmurait des rêves de doctorat. Ignace se découvrit alors une passion pour l'Inde lors de sa première année d'archéologie, et il pris simultanément des cours d'Hindi pour perfectionner ses connaissances, ainsi que d'une autre langue indienne qu'il pensait utile pour la poursuite de ses études. Ses parents craignirent qu'il ne s'emballe peut-être trop vite dans cette nouvelle lubie plutôt exotique, mais la détermination de leur fils resta inébranlable. Cela s'accentua lorsqu'il rencontra une jeune femme nommée Kastürbāi, d'origine indienne, et avec laquelle il eu une idylle qui dura deux ans et demi. Après cela, il se découvrit un relatif charisme qui lui permit de jouer au tombeur encore quelque temps, avant que la période si décisive de la maîtrise ne vint annihiler toutes ses autres aspirations.
Lorsque la guerre menaça, la famille Markow eu assez de clairvoyance pour s'en aller avant le début des hostilités. Ignace eu à peine le temps de voir le début des délations et des ségrégations anti-juives, qu'iil se retrouva dans les couloirs au carrelage si étincelant d'Oxford: à sa plus grande honte, il en oublia tout le reste pour se plonger égoïstement dans ses études pendant que des millions de personnes mourraient à l'autre bout de l'Europe. La famille de sa mère étant relativement riche, descendant des premiers bourgeois à avoir fait fortune dans le textile, son "transfert" passa inaperçu parmi l'élite dorée des jeunes britanniques de l'époque.
Ce ne fut que lorsqu'il apprit la déportation de toute la famille de son père qu'il pris conscience de son égocentrisme, et il s'impliqua pendant un temps dans le mouvement dit "révolutionnaire" de Charles De Gaule en écrivant des spitchs radiophoniques pour certains de ses amis.
Grâce à la fortune de ses grands-parents, chez qui le reste de la famille avait élu domicile, il pu partir pendant trois étés en Inde, pour poursuivre des fouilles autour du Taj Mahal, dans des stages de chantier organisé par son université: il y appris ainsi les rudiments pratiques d'archéologie, et se fit d'ores et déjà des relations dans le milieu ainsi que quelques amis.
La maîtrise et le DEA en poche, ainsi que le doctorat au bout du tunnel, Ignace devint expert dans une partie du monde que l'Angleterre avait en travers de la gorge à cette même époque: l'Inde. En 1944, quand Ignace pu enfin se faire désigner sous le titre pompeux de Docteur ès archéologie, l'Inde était en plein mouvement séparatiste avec l'Empire Britannique des Indes et Ghandi était l'une des figures les plus emblématique de la période en prônant la non-violence.
Ignace laissa une nouvelle fois sa famille sur le carreau pour se rendre de nouveau en Inde, et ce malgré les grandes perturbations que subissait le pays. Pour lui, l'art et la politique n'avait aucun lien, et comme la seconde guerre mondiale venait de s'achever en 1945, rien ne le retenait plus en Angleterre. Le jeune homme poursuivit ses fouilles au Taj Mahal puis s'est intéressé de très près à la ville de Goa sous domination portugaise.
A l'heure actuelle, le jeune homme vient de terminer son premier livre sur l'archéologie indienne qui a remporté un franc succès auprès de la profession. Il est également chargé d'un cours sur le sujet à l'université anglaise de Mumbaï (Bombay), où il possède un appartement - qui n'est pas souvent fréquenté, il est vrai.
Il y a un an, Ignace a entendu parler de la légendaire cité de Shangri-La par un collègue archéologue sur un nouveau chantier. Immédiatement interpellé par cette histoire, le jeune homme a commencé en secret des recherches sur le sujet, relativement séduit par l'immortalité que l'on pourrait soit-disant trouver là bas. Ayant quelques connaissances de chinois, il s'est rendu à Pékin deux ou trois fois déjà, pour gratter ici ou là les connaissances des archéologues locaux, révélant ainsi quelques pistes intéressantes. La première de ces pistes se nomme Bamiyan, et l'intrigue plus que tout...
Dernière édition par Ignace Markow le Mar 12 Jan - 1:50, édité 1 fois | |
| | | | Ignace Markow
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| | Sujet: Re: IGNACE MARKOW — Where's the silk road ? Mar 12 Jan - 0:14 | |
| Fiche terminée  [ désolé encore pour la longueur, c'est peut-être un peu relou à lire.. mais comme je parle de choses qui me passionnent, je n'en voit pas le bout ] | |
| | | | Lanie Isabel Callaghan
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| | Sujet: Re: IGNACE MARKOW — Where's the silk road ? Mar 12 Jan - 14:06 | |
| c'est une très belle fiche bon choix et merci  je valide  | |
| | | | Ignace Markow
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| | Sujet: Re: IGNACE MARKOW — Where's the silk road ? Mar 12 Jan - 14:15 | |
| Merci beaucoup  | |
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| | | | | Ignace Markow
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| | Sujet: Re: IGNACE MARKOW — Where's the silk road ? Mar 12 Jan - 16:17 | |
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