SHELDON • delightful pain • DONE

Invité

MADE BY MISERY ANGEL

1 ° Identity Card

Prénom(s) et Nom:

Queen Sorrow SHELDON

Age et date de naissance:

24 ans. Née le 14. 06. 1923.

Nationalité:

Américaine

Origines:

Australienne

Emploi/Études:

Infirmière

Groupe:

2 [ ]

3 [X]

4 [ ]

5 [ ]

6 [ ]

7 [ ]

2 ° Biography

Histoire:

« La mort est paisible, simple. C’est beaucoup plus difficile de vivre. »
TWILIGHT

« Life is unfair. Everybody should know that. »

Pittsburg, USA, 14 juin. Queen a passée son huitième anniversaire il y a un peu plus d'un mois maintenant. Huit ans et déjà une adorable petite fille. La brunette attendait avec impatience la surprise que lui avaient promise ses parents depuis maintenant plus d'un mois. A son âge, elle se demandait chaque jour qui passait pourquoi elle devait attendre aussi longtemps pour avoir le droit à un cadeau qu'elle attendait depuis un bon moment. Impatiente mais sage, Queen restait dans son coin, gentiment, sans trop en demander. Ce fut en ce soir d'été que Madame Sheldon fit son apparition dans la petite chambre de Queen, un petit sourire malicieux sur le coin des lèvres. Queen avait reconnue depuis longtemps le pas de sa mère et se retourna lentement lorsque la grande dame brune s'approcha lentement de la demoiselle

« Chérie, prépare tes affaires pour une semaine. Nous partons dans deux heures. »

A l'entende de cette ' surprise ', Queen sauta dans les bras de sa mère. Enfin, le cadeau qu'elle attendait depuis longtemps approchait à très grands pas. Madame Sheldon, émue, eut un instant les larmes aux yeux devant le bonheur de sa fille.

Pittsburg, USA, 14 juin, deux heures plus tard

« Mamaaaaan ! Je suis prêteuuuuh »

Queen dévala les escaliers accompagnée par un grand sac qu'elle traînait derrière elle. Les Sheldon se mirent alors à rire en voyant le petit bout de chou poussée par le sac qu'elle traînait. La demoiselle se mit elle aussi à rire avec une pointe d'incompréhension. Il est normal qu'à cet âge là, elle ne comprenne pas vraiment pourquoi ses parents sont morts de rire alors qu'elle descendit les escaliers. Dans son rire intense, la fillette se laissa tombée sur son sac, oubliant totalement qu'elle était encore dans les escaliers. C'est alors que son sac glissa, l'emportant tout en bas, la jeune fille cramponnée aux poignets du sac. Les rires se firent entendre de plus belle, incessant et emplis de bonheur.

Région des lacs, Cumbrie, Angleterre, 3 Août, H-1. Cela fait maintenant trois jours que les Sheldon ont pu se familiariser avec le coin. Queen est aux anges, il n'y a aucun souci là-dessus. Monsieur Sheldon, par ce bel après-midi d'août proposa aux deux femmes de sa vie ainsi qu’à son jeune fils un petit tour en barque sur un lac. Queen étant légèrement malade, ne voulait pas s'aventurer sur les eaux froides d'un lac. Elle déclina donc l'invitation de son père, bien qu'elle n'ait que huit petites années. Madame, elle, accepta. Elle fut d'abord réticente à l'idée de laisser sa fille seule sur le rivage puis finit par accepter l'idée que, pour son âge, Queen était assez mature. En jetant un petit coup d’œil à Razel, son fils, et à Kayra, sa seconde fille, elle leur intimèrent de rester avec la petite dernière. Ils acceptèrent avec grand plaisir, parce qu’eux, les balades en barque, ce n’est pas vraiment ce qu’ils préfèrent le plus. Sans aller bien loin, les parents montèrent à bord et s'éloignèrent du rivage, sous les yeux attentifs de leur trois enfants.

Région des lacs, Cumbrie, Angleterre, 3 Août, Heure H. Sur le rivage, Queen attendait avec impatience le retour de ses parents chéris, la tête posée sur l’épaule de son grand-frère. Apercevant leur moyen de locomotion, Queen se redressa et s'approcha de l'eau et leur fit un grand signe de la main. Madame Sheldon se leva dans la barque et agita les bras pour répondre à sa fille. Seulement voila, elle perdit l'équilibre et tomba dans l'eau. Ne sachant pas nager, elle se débattait dans l'eau pour survivre. Alarmé, monsieur sauta dans l'eau pour la sauvé mais en fut incapable car la mère coulait déjà, épuisée de ce remue ménage. En regardant la scène de loin, ce fut comme si quelque chose avait empêché son père de sauver madame. Queen ne bougeait plus. A quelques mètres d'elle, sa mère se noyait dans les profondeurs du lac. Malgré la présence d'aide autre que son père, madame Ainsworth ne fut pas sauvée à temps. Queen ne bougeait toujours pas, fixée sur la barque. Immobile, comme statufiée, Queen s'empêchait de pleurer. Elle luttait contre l'envie de sauter à l'eau pour sauver un être qui lui est plus que cher. C'est lorsque son père s'approcha d'elle, trempé de la tête aux pieds, que la fillette fondit en larmes. Elle se vidait de toute l'eau qu'elle avait dans son corps. Sa mère était morte sous ces yeux impuissants. Quoi de plus terrible qu'une chose pareille ?

« MAMAAAAAAAAAN ! »

cria-t-elle sans jamais avoir de réponse autre que celle de son père et de ses larmes. Razel et Kayra ne comprenaient pas non plus mais ils se retenaient de lâcher leurs larmes, cela pouvait se lire sur leur visage. Razel prit sa petite sœur dans ses bras protecteurs et tenta de la rassurer, en vain.

« And a long time goes »

Depuis ce tragique accident, Queen, Razel et Kayra ont été élevés par leur père. Ils ne manquèrent de rien. Monsieur Sheldon faisait de gros sacrifices pour ses enfants qu’il aimait tant, qui le raccrochait encore à sa défunte épouse, à ce qui lui restait d’envi de vivre. Huit ans avant la seconde guerre mondiale, huit ans avant la mort de son père, huit ans avant l’enrôlement de son frère, huit ans avant le mariage de sa sœur. De 1931 à 1939, tout se déroula parfaitement bien pour Queen, malgré ses nombreux cauchemars dans lesquels elle revivait la mort en directe de sa mère. Il lui fallut bien quatre années pour cesser de se réveiller en hurlant, en pleurant, dans les bras de son frère, ou de sa sœur, suivant qui veillait sur elle à ces moments-là. 1939, le début de la seconde guerre mondiale. Kayra se maria et vit son époux partir au front. Monsieur Sheldon arriva au terme de sa vie et décéda de sa belle mort. Razel s’engagea également dans l’armée mais ne fut pas tout de suite appelé. Pendant tout ce temps, les deux filles Sheldon se serraient les coudes, se rapprochant énormément jusqu’à devenir complètement inséparables. 1945, la fin de la seconde guerre mondiale. Razel revint du front victorieux. Il était revenu sans et sauf, avec certes quelques blessures mais il était vivant. Le mari de Kayra avait perdu la vie lors du second débarquement. Queen et Razel étaient là pour elle, ils ne la lâchèrent pas d’une semelle. Neven, le meilleur ami de toujours de Razel était lui aussi revenu sain et sauf du front. Secrètement, Queen l’avait toujours aimé. Elle avait toujours été proche de lui mais se contentait simplement de le voir comme un second grand-frère, rien de plus. De toute façon, comment un parfait être tel que lui pourrait tomber amoureux d’une jeune fille comme elle ? A son retour de la guerre, elle passa beaucoup de temps à panser elle-même ses blessures. Il la laissait faire, ne bronchait jamais. Ils se rapprochèrent beaucoup après cela. Personne n’avait rien vu venir jusqu’à ce jour de février 1947 …

« Please, tell me what do you think. »

«Razel ? Kayra ? Neven ? »

Silence

« Nan, sérieux les gars, vous êtes où ? »

Nouveau silence

« Vous faites chier ! Puisque c’est comme ça, je me tire de là. Vous êtes sérieusement casse pieds à ne jamais répondre quand je vous appelle. Et bien restez dans votre coin, je prends mes cliques et mes claques et je dégage ! »

La voix de Queen se perdit dans un silence impalpable. Cette fois, c’est décidé, elle les abandonnerait. Certes elle allait en souffrir beaucoup mais si c’est un sacrifice à faire pour avoir enfin une occasion de se faire entendre par ces trois imbéciles, elle le ferait. Avant même qu’elle n’ai eu le temps de se retourner, la voix de Neven traversa l’air, rompant alors le silence de plombs qui régnait depuis les derniers mots de la jeune Sheldon.

« Attends Queen … »

La voix suave du jeune homme la stoppa net. En y réfléchissant à deux fois, c’est cette voix qui allait lui manquer le plus au monde. Elle se surprit d’ailleurs à se dire que la voix de Neven lui manquerait plus que celle de son propre frère ainsi que celle de sa propre sœur. Chassant cette idée de sa tête, elle se retourna et se trouva alors face à lui. Ce grand bonhomme aux allures d’ange. Sans trop savoir pourquoi, elle leva la tête et resta là, à le regarder dans le blanc des yeux, sans pouvoir détourner la tête. Ils restèrent pendant quelques minutes ainsi. Le silence qui les entouraient ne comptant plus ni pour l’un, ni pour l’autre, cet instant paraissait interminable mais pourtant si court. Lorsque soudain, Neven entrouvrit la bouche et rompit ce silence qui se faisait apparemment trop long pour lui.

« Razel et Kayra ne sont pas avec moi et moi … Je voulais voir jusqu’où tu pouvais aller. »

Queen écarquilla les yeux. Comment pouvait-il lui faire une chose pareille ? Elle resta planté là, bouche-bée, sentant la colère qui s’était évanouie remonter en elle. Elle n’en revenait pas. Et en plus de cela, il affichait un petit sourire en coin qui, à l’ordinaire, la faisait craquer mais qui la dégoutait maintenant.

« Tu n’es qu’un crétin Neven ! Jamais je n’aurais cru qu’un jour tu me fasses une chose pareille ! »

Son regard traduisait à quelle point la rancœur qu’elle éprouvait pour lui à ce moment là était forte. Lui, il s’attendait à cette réaction et laissa s’échapper un petit rire léger. Elle, elle le fusilla du regard tout en croisant les bras puis laissa tomber son regard sur le sol. Neven s’approcha de la jeune femme et tenta de la prendre dans ses bras.

« A non ! Tu ne me touches pas ! Dégage de là vieille chaussette ! »

A ces derniers mots, ses lèvres ne purent s’empêcher de frémir. Neven, lui, ne se priva pas de rigoler. Il faut bien avouer qu’au niveau des insultes, lorsque la jeune femme perd ses moyens, elle ne peut s’empêcher de dire n’importe quoi. Arborant une petite moue enfantine tout en refusant de regarder Neven dans les yeux, Queen ne savait plus trop si elle allait encore le faire poireauter ou bien si elle allait se laisser tenter à se blottir contre lui. Voyant qu’elle ne réagissait pas, Neven se décida enfin à prendre les devant.

« Queen, regarde moi s’il te plaît … »

La jeune femme laissa sa tête baissé et son regard flotter sur le sol. Neven posa une main douce sous le menton de la jeune femme et lui releva la tête.

« C’est mieux comme ça … Tu sais que je n’aime pas quand tu es réagis comme ça … »

« En même temps, c’est à cause de toi … »

« Peut-être, mais en ce qui me concerne, cela partait d’une blague totalement puérile et j’en suis conscient … »

« NAN ! Tu es conscient de quelque chose toi ? »

« Je suis peut-être un crétin mais j’ai des sentiments et je suis capable de savoir ce que je fais … »

« Cela fait dix-huit ans que l’on se connait tous les deux et enfin tu avoues être un véritable crétin, je te félicite ! »

« Laisse-moi finir s’il te plaît Queen ! »

Pour la première fois depuis le début de leur conversation, Neven avait haussé le ton de sa voix. Queen soupira, croisa les bras et, enfin, elle se décida à le regarder dans les yeux, attendant avec impatience la suite de son speech, ne comptant pas rester planté là toute sa vie.

« Je sais que le moment est mal choisit, mais en même temps, je préfère te dire ça quand les deux autres ne sont pas là … »

Queen arqua un sourcil. Elle ne comprenait pas vraiment où il voulait en venir et ça commençait à l’inquiéter quelques peu. En voyant l’expression qui s’installait sur le visage de la jeune femme, Neven ajouta son superbe sourire en coin.

« Rien de bien grave, t’inquiète pas. C’est juste que si il était là, il serait plus difficile pour moi de ne pas être distrait ... »

Décidément, il avait le don de lui faire peur pour un rien. Elle se sentait totalement perdue, minuscule et sans pouvoir aucun. L’appréhension pouvait se lire dans son regard et le jeune Sheldon l’avait très bien comprit. Avec son sourire en coin toujours marqué sur son visage, le jeune homme décroisa les bras de la jeune femme avec une grande délicatesse et lui prit les mains avant de poursuivre son discours.

« OK, je me lance … Depuis toutes ces années où on se connaît, que ce soit en ville, ou chez toi, je n’ai pas cessé de penser à toi. Il m’était impossible de t’imaginer loin de moi ne serait-ce que cinq minutes. Quand on était gosse, je te prenais pour ma petite sœur, ma petite protégée. Et puis, quand j’ai compris que Razel était ton frère avant toute autre personne, tout à changé. Je me suis dis que je n’avais plus rien à faire de ce côté-là parce que je devais lui rendre la place qui lui avait été attribué. Seulement voila, les sentiment de protection et de fraternité que j’avais pour toi ont évolué bien plus que je ne l’aurai jamais pensé … »

Neven marqua une courte pause pour prendre le temps de déglutir et, par la même occasion, reprendre son souffle. Queen, elle, ne cessait de le dévisager.

« … Depuis toutes ces années, je n’ai jamais cessé de te protéger de tout et de rien. Depuis que nous sommes dans des milieux différents tous les trois nous nous sommes trop éloigné à mon goût … Les moments passés ont du bon pour nous et plus spécialement pour nous deux … Quelque part, quand je t’ai vu courir vers moi quand je suis revenu de la guerre, j’ai ressentit ce que j’avais toujours ressenti pour toi : de l’amour. Et puis, j’ai rapidement pensé que ce n’était qu’un rêve … »

Il baissa la tête comme s’il s’en voulait d’avoir cru à un rêve. Queen avait les lèvres pincées. Ce qu’elle avait toujours ressenti pour lui s’avérait être réciproque et ce depuis longtemps. Elle ne voulait pas qu’il continu à parler. Elle ne voulait pas qu’il aille au bout de son discours. La peur de pleurer parce que ce qu’elle a toujours voulu se réalise enfin l’envahissait au fur et à mesure de ces paroles alors il fallait qu’il se taise. Queen lui releva la tête et l’embrassa. Surpris mais pas mécontent qu’elle ait compris son message sans avoir terminé, Neven prolongea son baiser. Soudainement, Razel fit son apparition et les deux jeunes se séparèrent brutalement. Le jeune Sheldon éclata de rire.

« Non mais sérieusement, vous croyez que je n’ai rien entendu de toutes vos conneries ? Je suis là depuis le début les enfants … Et puis, embrassez-vous, je ne vais pas vous manger non plus. Vous êtes mignon en plus ... »

Razel tourna les talons et s’éloigna, un immense sourire aux lèvres. Ce petit imbécile les avait espionnés de derrière un arbre et s’était bien gardé de le leur dire. Queen et Neven se regardèrent puis leurs yeux se reposèrent sur Razel qui leva ses mains tout en leur tournant le dos, comme pour leur dire qu’ils allaient être tranquille pendant un petit moment. Enfin, ils se mirent à rire.

Invité

3 ° And others

Caractère:

Comment définir le caractère d'une charmante jeune femme aussi pétillante que Queen Sheldon ? Il est parfois préférable de ne décrire son caractère que par un simple mot : ouragan. Ce petit bout de femme pourtant si fragile est un véritable ouragan. Jeune femme à la fois déterminée et susceptible, impulsive mais pourtant si adorable, Queen est une femme inaccessible. Le goût du risque et le danger font toute la personnalité et le charme de la jeune Sheldon. Habile et futée, la jeune femme pourrait paraître naïve et discrète mais s'il y a bien un proverbe qui peut s'appliquer à notre jeune femme c'est bien le suivant : « Ne jamais se fier aux apparences ». On croit souvent se connaître mieux que quiconque mais Queen l'a comprit depuis un bon moment déjà. Personne ne se connait assez bien pour savoir comment il/elle sera capable de régir, quelles paroles il/elle doit dire en cet instant précis, même pas le crétin le plus sûr de lui au monde.

Fragile. Comme tout être humain, Queen a ses failles. Sensible et parfois douteuse, la jeune femme fait de sa fragilité un atout hors du commun. Il est souvent dit que les femmes ont une fragilité plus grande que les hommes et Queen ne fait pas exception à cette règle. Depuis sa plus tendre enfance, la jeune Sheldon est d'une sensibilité adorable. Se battant pour de bonnes causes et à force de vouloir faire le bien autour d'elle, Queen en devient une femme de plus en plus belle, au sens propre du terme. Susceptible. Il ne faut pas avoir que de la détermination et du courage dans son sac. Quelques défauts peuvent parfois être les bienvenus pour équilibrer ce grand sac que forment l'âme et le cœur d'une personne. La susceptibilité de Queen est grande. Elle se surprend parfois à douter d'elle-même, à avoir peur d'avancer. Quelques simples paroles peuvent la faire littéralement changer d'avis. Certes pour peut de temps, mais pendant ce laps de temps, que croyez-vous que la jeune femme fait ? Elle se lamente sur son sort ? Non. Se pose tout un tas de questions ? Oui, naturellement. Mais ne croyez pas que Queen serait capable de renoncer à quelque chose juste par de simples paroles. Il lui en faut bien plus pour renoncer à atteindre son but. Nostalgique. Queen est une jeune femme très adepte du passé. Pour elle, le passé est une partie intégrante de ce que l'on est à présent. Le passé représente ce qu'elle est devenue et c'est pourquoi elle ne peut pas vivre sans son passé. Sa vie est devenue ce qu'elle est aujourd'hui grâce à divers évènements qui ont marqué ses vingt-quatre années. Il ne se passe pas une seule journée sans que la jeune femme se rappelle ce pourquoi elle est ce qu'elle est aujourd'hui. Ce trait de caractère peu en énerver plus d'un mais elle aime ça.
Émouvante. L'émotion que Queen laisse transparaître est très forte. Dans chacun des rôles qu'elle peut interpréter dans la vie courante, comme ça, pour s’amuser, elle ne peut pas s'empêcher de rajouter ce trait de caractère qui lui est propre. Pour elle, l'émotion est quelque chose de très important. Chaque personne possède une partie de sa vie difficile à vivre, tout comme les personnages de fiction. Dans la vie courante, la jeune Sheldon est quelqu'un qui émeut par son passé qui à pourtant tout l'air d'être glorieux. Irrésistible. La demoiselle possède ce petit côté inaccessible qui fait tout son charme. Oui, elle est irrésistible et attire la convoitise d'un grand nombre d'homme. A son grand regret, la seule personne qu'elle convoite n'éprouve peut-être pas les mêmes sentiments qu'elle. Son charme en prend donc un sacré coup dans l'aile mais ne vous en faites pas, elle se relèvera bien vite. Coquine. Son charme ne fait malheureusement pas toute la différence. Son petit côté de jeune fille espiègle et coquine y est également pour beaucoup. La jeune femme ne peut pas s'empêcher de balancer quelques sous-entendus par-ci et par-là dans chaque conversation qu'elle entretient. La plupart de ses allusions coquines ne sont en général pas à prendre au sérieux ais il existe tout de même des exceptions à cette règle.

Particularités:

•• Queen est une accroc au café. Il ne se passe pas une seule journée sans que la jeune femme n’en ingurgite une bonne dizaine. La caféine la rend encore plus forte et l’aide à tenir le coup face aux longues journées qu’elle effectue.
•• Queen, étant infirmière, a déjà vu pas mal d’horreur en ce qui concerne les survivants de la seconde guerre mondiale. Elle en connait un rayon sur les blessures en tout genre. Elle tente de se cultiver le plus possible sur les squelette également. Passionnée par l’anthropologie, la jeune femme rêverait d’être un jour anthropologue.
•• Question manies, Queen en a quelques unes qui valent la peine d'être connues. Tout d'abord, la jeune femme possède cette manie de faire craquer se doigts toutes les cinq minutes, ce qui a tendance à énerver les personnes qui l'entoure. Lorsqu'elle se sent en " danger ", Queen a pour habitude de se gratter l'arrière de la tête, signe d'infériorité numériquement mentale. Une autre manies assez fréquente de notre jeune Sheldon est de se mordiller le bout de la langue lorsqu'elle réfléchit. Autre manie mémorable que la charmante Queen emmagasine, elle ne peut s'empêcher d'effectuer une petite danse minable lorsqu'elle a raison et qu'elle se trouve en compagnie d'amis intimes. Il est vrai qu'elle paraît complètement gamine, pathétique et méconnaissable, mais elle est comme ça et on n’y peut pas grand chose en fait.
•• Dans le genre phobique, vous ne pouviez pas tomber mieux. En plus d'avoir des tonnes de manies, Queen est dotée d'un bon nombre de phobies. Voyez-vous, cette jolie petite créature est tout d'abord claustrophobe. Et oui, la peur du noir et des espaces clos est quelque chose qu'elle se coltine depuis sa plus tendre enfance. Pour continuer sur cette lancée, Queen a une peur surdimensionnée des araignées. Ne supportant pas la présence de ces petites bêtes aux pattes velues, vous pouvez être sûr de la voir détaler si elle se retrouve face à ne serait-ce qu'une petite araignée. Pour terminée, Queen a une phobie assez particulière. En effet, la demoiselle a peur de l'eau. Bien entendu, elle n'en a pas assez peur pour passer sous la douche, mais c'est plus principalement au bord des grandes étendues d'eau que la demoiselle flanche.
•• Les gouts et les couleurs se discutent facilement. En ce qui concerne Queen, vous ne trouverez pas moins difficile qu’elle. En effet, elle aime absolument tout et n’importe quoi. Bien évidement, elle a certains principes mais cela ne l’empêche pas d’aimer les conneries des humains et leurs gadgets absolument inutiles. Tout d’abord, il faut souligner le goût prononcé de la jeune femme pour la musique classique. Bon nombre d’auteur classique ont bercé son enfance, tels que Chopin, Wagner ou encore Mozart. Mélomane, elle joue à la perfection du piano. Cet instrument est le seul qu’elle consente à pratiquer. Pourquoi ? Bonne question.
•• Il ne faut pas aller chercher bien loin pour trouver que Queen est complètement folle à liée. Son côté décalé et puéril relèverait-il des conneries de l'enfance qui lui sont trop montée à la tête et qui ne l'ont pas quittée ? Affaire à approfondir. Cependant, son côté enfantin reste apprécié puisqu'elle a ses limites à ce sujet. Jamais elle n'a dépassée les limites qu'elle s'était fixée et se demande parfois si elle ne devrait pas les repousser un peu. Elle glousse, éclate de rire à tout moment, saute dans tous les sens, parle en s'aidant de grand geste en signe de mimétique et parfois même se prend pour une starlette blonde complètement stupide.
•• Chose moins comique. Lors de ses coups de blues, Queen s'enferme dans sa chambre et se blottie sur son lit, ses bras entourant ses jambes et le menton posé sur ses genoux repliés sur sa poitrine. Une musique - pas très gaie en générale - à fond les manettes et un paquet de bombons dissimulé sous son lit feront l'affaire. Ou presque. Quelques cigarettes en plus ne lui feront pas de mal. Au grand désespoir de son frère, Queen est une incorrigible déprimée dans ses cas là.
•• Le seul moyen de calmer potentiellement notre jeune Sheldon, c'est la musique. S'il vous faut un moyen de la mettre dans votre poche ou tout simplement de l'attirer dans vos filets, la musique est la seule chose dont elle ait besoin. Jeune femme adepte de la musique pop-rock. Queen s'y connait dans ce domaine. C'est peut-être même le seul domaine dans lequel elle ait une connaissance incroyable sur chaque artiste et histoire de chaque chansons, ou presque.